Destiny is for losers. It's just a stupid excuse to wait for things to happen instead of making them happen.
-Blair Waldorf
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J'ai envie d'écrire, de tout dire. J'ai envie d'écrire que j'me trouve idiote & complètement naïve. J'étais plus jeune à ce moment-là, mais je n'en reviens pas à quel point j'ai cru intensément en notre histoire ''d'amour'' clairement sans aucune tendresse, sans aucune possibilité d'amour réciproque. Je nous vois encore, nous... draguer, nous désirer. Je me vois complètement abasourdie de voir que quelqu'un comme moi puisse intéresser quelqu'un comme toi... Puis finalement réaliser que t'es un pauvre con, et que tu me niaisais. Oui, je revois les larmes couler, sans cesse... Tout cela me revient à la mémoire. Et dire que je t'ai laissé une autre chance! Il faut dire que je n'étais pas heureuse, à ce moment, que je croyais avoir besoin de quelqu'un qui m'aime, alors qu'en réalité, j'avais besoin de m'aimer & de réaliser que des gens qui m'aiment pour vrai, j'en avais déjà. J'ai longtemps pensé que toujours je ressentirai quelque chose pour toi. Toujours... C'est long toujours. Certes, je n'ai pu m'assurer de cette pensée, mais pratiquement un an après, je découvre que non. Je saisis que tu es quelqu'un de royalement ordinaire, pour ne pas dire vide d'esprit, complètement paresseux, qui laisse croire aux gens qu'il est ambitieux. En bref, tu me fais pitié. Et je suis heureuse de dire que tu ne me manques plus et ce depuis longtemps. Puis, j'ai envie de dire que tu me manques, plus que quiconque. Je nous manque. Tous les souvenirs défilent en moi, me vident. Je nous vois, rieurs & insouciants, comme si ce que l'on vivait allait durer éternellement. Et on y a cru... En tout cas, moi j'y ai cru... Puis, un jour à l'autre, tu as complètement changé, tu m'as brisée, et ce à jamais. Tu as détruit ce que nous avions bâti. Et moi qui croyais que notre amitié était forte, et que tu étais un gars génial... Je me demande bien où ma lucidité se trouvait, à ces instants, car à la façon dont tu poses ces actes, je comprend que tu n'étais que un parmi tant d'autres.Finalement, j'ai envie de te dire que tu me manques, et que chaque pensée portée envers toi, envers ce que nous avons vécu, me fait mal comme un couteau dans le coeur.... Mais ça s'atténue, au fur et à mesure. Au début, je me suis refermée sur moi-même, et j'ai plongé dans les livres, qui m'ont sauvé, dois-je avouer. Mais durant cette période de temps, je n'étais pas totalement moi-même. Je me sentais vide, et mes habitudes ont changées. Nous avons cessé de nous parler, et, à cause de toi, oui, j'ai perdu quelqu'un à qui je tenais vraiment, et même si je ne veux l'avouer, je sais très bien que jamais cela reviendra comme avant. C'est inéluctable pour les yeux, mais pour le coeur, c'est trop dur à prendre. Par contre, grâce à mes expériences antérieures, je sais que, oui pour le moment, tu n'es pas UN parmi tant d'autres, tu es toi, complètement différent et jamais je ne pourrai t'oublier, mais, je sais avec certitude que, un jour, tu me laisseras complètement indifférente,,, Pour maintenant, je sais que tu es encore à ta place dans mon coeur, mais que tu disparais de plus en plus. Peut-être ne veux-tu pas cela, mais, tant pis, car trop longtemps je me suis battu pour une cause perdue. Désormais, c'est fini.C'est dur de penser à nous, car j'y ai cru plus que n'importe quoi d'autre, sincèrement. Avec raison, et avec tort. En effet, c'est un peu contradictoire. Mais, j'étais heureuse, en y croyant. Voici donc la conclusion à laquelle j'en suis venue ; si croire en quelque chose me rend heureuse, il serait plus que temps que je commence à croire en moi encore plus fort que maintenant.
J'ai envie d'écrire que j'me trouve idiote & complètement naïve. J'étais plus jeune à ce moment-là, mais je n'en reviens pas à quel point j'ai cru intensément en notre histoire ''d'amour'' clairement sans aucune tendresse, sans aucune possibilité d'amour réciproque. Je nous vois encore, nous... draguer, nous désirer. Je me vois complètement abasourdie de voir que quelqu'un comme moi puisse intéresser quelqu'un comme toi... Puis finalement réaliser que t'es un pauvre con, et que tu me niaisais. Oui, je revois les larmes couler, sans cesse... Tout cela me revient à la mémoire. Et dire que je t'ai laissé une autre chance! Il faut dire que je n'étais pas heureuse, à ce moment, que je croyais avoir besoin de quelqu'un qui m'aime, alors qu'en réalité, j'avais besoin de m'aimer & de réaliser que des gens qui m'aiment pour vrai, j'en avais déjà. J'ai longtemps pensé que toujours je ressentirai quelque chose pour toi. Toujours... C'est long toujours. Certes, je n'ai pu m'assurer de cette pensée, mais pratiquement un an après, je découvre que non. Je saisis que tu es quelqu'un de royalement ordinaire, pour ne pas dire vide d'esprit, complètement paresseux, qui laisse croire aux gens qu'il est ambitieux. En bref, tu me fais pitié. Et je suis heureuse de dire que tu ne me manques plus et ce depuis longtemps. Puis, j'ai envie de dire que tu me manques, plus que quiconque. Je nous manque. Tous les souvenirs défilent en moi, me vident. Je nous vois, rieurs & insouciants, comme si ce que l'on vivait allait durer éternellement. Et on y a cru... En tout cas, moi j'y ai cru... Puis, un jour à l'autre, tu as complètement changé, tu m'as brisée, et ce à jamais. Tu as détruit ce que nous avions bâti. Et moi qui croyais que notre amitié était forte, et que tu étais un gars génial... Je me demande bien où ma lucidité se trouvait, à ces instants, car à la façon dont tu poses ces actes, je comprend que tu n'étais que un parmi tant d'autres.Finalement, j'ai envie de te dire que tu me manques, et que chaque pensée portée envers toi, envers ce que nous avons vécu, me fait mal comme un couteau dans le coeur.... Mais ça s'atténue, au fur et à mesure. Au début, je me suis refermée sur moi-même, et j'ai plongé dans les livres, qui m'ont sauvé, dois-je avouer. Mais durant cette période de temps, je n'étais pas totalement moi-même. Je me sentais vide, et mes habitudes ont changées. Nous avons cessé de nous parler, et, à cause de toi, oui, j'ai perdu quelqu'un à qui je tenais vraiment, et même si je ne veux l'avouer, je sais très bien que jamais cela reviendra comme avant. C'est inéluctable pour les yeux, mais pour le coeur, c'est trop dur à prendre. Par contre, grâce à mes expériences antérieures, je sais que, oui pour le moment, tu n'es pas UN parmi tant d'autres, tu es toi, complètement différent et jamais je ne pourrai t'oublier, mais, je sais avec certitude que, un jour, tu me laisseras complètement indifférente,,, Pour maintenant, je sais que tu es encore à ta place dans mon coeur, mais que tu disparais de plus en plus. Peut-être ne veux-tu pas cela, mais, tant pis, car trop longtemps je me suis battu pour une cause perdue. Désormais, c'est fini.C'est dur de penser à nous, car j'y ai cru plus que n'importe quoi d'autre, sincèrement. Avec raison, et avec tort. En effet, c'est un peu contradictoire. Mais, j'étais heureuse, en y croyant. Voici donc la conclusion à laquelle j'en suis venue ; si croire en quelque chose me rend heureuse, il serait plus que temps que je commence à croire en moi encore plus fort que maintenant.