Et le plus dur là-dedans, c'est de savoir éperduement que tu me manques, que tu me manqueras pour toujours Gabriel. Je sais que tu ne liras jamais ceci, mais, j'écris comme si j't'écrivais. Tu  me manques, et de le savoir, de le réaliser, de le comprendre et de vouloir faire quelque chose que je ne ferai pas, car même en essayant, rien ne reviendra comme avant, me fait mal comme jamais. C'est comme un grand vide ; un perpétuel trou dans lequel je tombe ; ce trou, c'est la tombe de tout ce que l'on avait bâti, c'est ... La fin d'un monde, du nôtre, dans lequel j'étais si bien. Nous relire, nous revoir, soit en rêve ou en concret, ne fait que tourner le fer dans la plaie que porte mon coeur depuis que je t'ai laissé aller, ou plutôt depuis que tu m'as laissé te laisser partir, sans jamais faire quelque chose pour me retenir, sans jamais faire quelque chose pour me prouver que tu tenais à moi : que tu m'aimais.
J'aimerais savoir comment tu vas, j'aimerais que tu te moques de moi, encore et encore, j'aimerais me battre avec toi pour t'empêcher de texter quelqu'un, j'aimerais que tu m'étendes plein de colle avec le bâton de colle de Woody, j'aimerais que tu me pokes les joues, j'aimerais que tu sois là. J'aimerais que tu lises ça, j'aimerais TELLEMENT savoir ce que tu penses en ce moment. Car de savoir que je te manque me pousserait à reprendre contact avec toi, mais... Je ne sais pas. Je crois que tu me trouves immature et probablement qu'à chaque fois que tu penses à moi, t'as l'image d'une pauvre conne en tête. C'est ce que je crois, par contre je ne le saurai jamais. Je souhaiterais ne rien t'avoir écrit, je souhaiterais que rien ne se soit produit, je souhaiterais encore me dépêcher le soir, pour te parler, simplement te parler.
C'est dur de réaliser que plus jamais j'aurais de conversations avec toi jusqu'à trois heures du matin, c'est dur de penser encore à toi, après autant de temps, c'est dur de savoir que je t'ai tassé de ma vie, sans t'avoir donné la moindre explication, car j'avais mes raisons. C'est dur de pas savoir comment tu vas, c'est dur de plus te voir, de ne plus passer plein de journées avec toi, couchés à ne rien faire, à simplement, apprécier la compagnie de l'autre. C'est dur de ne pas savoir comment tu me vois maintenant.
Je t'aime et je t'envoie toute la lumière que je porte. J'ose espèrer que, lorsque quelque chose te fait penser à moi, je te manque, mais je sais bien qu'au fond, tu dois être passé à autre chose.
Merci de m'avoir autant marqué, merci de m'avoir aidé aussi longtemps et saches que n'importe quand, je serai prête à te reparler.
Parce que c'est très dur ne plus t'avoir à mes côtés.

J'aimerais savoir comment tu vas, j'aimerais que tu te moques de moi, encore et encore, j'aimerais me battre avec toi pour t'empêcher de texter quelqu'un, j'aimerais que tu m'étendes plein de colle avec le bâton de colle de Woody, j'aimerais que tu me pokes les joues, j'aimerais que tu sois là. J'aimerais que tu lises ça, j'aimerais TELLEMENT savoir ce que tu penses en ce moment. Car de savoir que je te manque me pousserait à reprendre contact avec toi, mais... Je ne sais pas. Je crois que tu me trouves immature et probablement qu'à chaque fois que tu penses à moi, t'as l'image d'une pauvre conne en tête. C'est ce que je crois, par contre je ne le saurai jamais. Je souhaiterais ne rien t'avoir écrit, je souhaiterais que rien ne se soit produit, je souhaiterais encore me dépêcher le soir, pour te parler, simplement te parler.
C'est dur de réaliser que plus jamais j'aurais de conversations avec toi jusqu'à trois heures du matin, c'est dur de penser encore à toi, après autant de temps, c'est dur de savoir que je t'ai tassé de ma vie, sans t'avoir donné la moindre explication, car j'avais mes raisons. C'est dur de pas savoir comment tu vas, c'est dur de plus te voir, de ne plus passer plein de journées avec toi, couchés à ne rien faire, à simplement, apprécier la compagnie de l'autre. C'est dur de ne pas savoir comment tu me vois maintenant.
Je t'aime et je t'envoie toute la lumière que je porte. J'ose espèrer que, lorsque quelque chose te fait penser à moi, je te manque, mais je sais bien qu'au fond, tu dois être passé à autre chose.
Merci de m'avoir autant marqué, merci de m'avoir aidé aussi longtemps et saches que n'importe quand, je serai prête à te reparler.
Parce que c'est très dur ne plus t'avoir à mes côtés.
