mardi 23 août 2011


pour un nouveau début.
en ce début d'année scolaire, j'ai décidé de me mover, et de me créer un nouveau blog.
pour mes lecteurs, voici donc ma nouvelle adresse :
www.catherinerenaud.blogspot.com

lundi 22 août 2011

Toutes mes sympathies à la famille et aux ami(e)s de Pierre-Luc Barbe Labelle. Je vous souhaite tout le courage du monde dans cette épreuve difficile. Pierre-Luc, bien que je ne le connaissais pas personnellement, était, à ce qu'on m'a dit, aimé de tous. Il était joyeux et sympathique à souhait. J'espère que là ou il est, il est mieux, bien que j'aimerais mieux qu'il soit à vos côtés. Il était si jeune pour partir....

Bon courage et encore une fois, toutes mes sympathies.
Une étoile brille de plus dans le ciel !

Adieu à un grand homme.

Un grand homme nous a quitté, aujourd'hui, le 22 août 2011. Jack Layton était un homme d'engagement, de conviction. Il avait, pour le Québec et le Canada, une vision d'avenir incroyable, des idées, des projets dans le but d'améliorer les choses. Il croyait en notre peuple, croyait en lui, en son parti : il était d'un optimiste contagieux, d'une présence d'esprit incroyable. En lui, on voyait un coeur d'or, on voyait un homme à l'esprit ouvert, généreux et aimant. On y voyait aussi son désir de changer les choses, de les faire bouger pour le mieux. Cet homme aura tout donné pour ceux qui l'aiment et la politique. Son parti devra désormais se passer de lui et continuer, en gardant les valeurs, les objectifs et les changements que Jack avait à coeur. J'offre à toute sa famille, à ses proches, ses ami(e)s, mes plus sincères condoléances. Je trouve dommage qu'un si grand homme parte si vite, mais comme on dit, ce sont les meilleurs qui partent en premier. Sur ce, je dis mes adieux à Jack Layton, en lui souhaitant d'être aussi heureux là ou il est qu'il l'a été sur Terre.
"Mes amis, l'amour est cent fois meilleur que la haine. L'espoir est meilleur que la peur. L'optimisme est meilleur que le désespoir. Alors aimons, gardons espoir et restons optimistes. Et nous changerons le monde."
- Jack Layton.


dimanche 21 août 2011

Et je regrette. Je me culpabilise et ce avec BEAUCOUP de raisons. TROP D'ALCOOL, C'EST COMME PAS ASSEZ! C'est même PIRE. Car, faute d'avoir trop bu, j'ai raté L'événement que je ne voulais rater pour rien au monde : je voulais te voir lui dire adieu et te soutenir, je voulais t'accompagner dans cette journée, je voulais voir ton frère et ton père et leur prouver qu'ils peuvent compter sur moi. Et... Je n'étais pas là pour le plus important, car je vomissais dans mon lit. C'est dégueu, mais c'est la vie.

J'aurais voulu y être. J'y tenais vraiment ! Et ce n'est pas mon genre de ne pas assister à des événements comme cela : c'était important pour toi, et donc, important pour moi. J'aurais voulu rendre hommage à Anita d'une façon qu'elle méritait, et je n'ai même pas pu être là pour la cérémonie. Juste pour ça je me hais. Je DEVAIS y être, avec toi, pour toi, pour moi, pour elle : pour votre famille qui mérite tout le bonheur du monde.

Je crois que toutes les excuses que je pourrais vous faire ne combleraient pas cette sensation de culpabilité qui me ronge.

MAIS BON ! J'ai eu ce que je méritais : plein de vomissures, un pétage de yeule dans des marches en ciment qui ont eut pour effet, de me massacrer la jambe, des nausées, tout au long de la journée et de la nuit, et beaucoup de souvenirs me revenant en mémoire qui me donnent honte. (par contre, je tiens à préciser que ma fête était awesome, j'ai vraiment eu du fun malgré tout cela ! haha)

En définitive, je suis désolée. Je t'avais promis d'être toujours là pour toi, encore plus dans cette épreuve et je n'ai pas tenu ma promesse. J'aurais dû être plus forte pour toi.

Désolé encore, je t'aime.

mercredi 17 août 2011

Je ne te demande pas de me comprendre. Je te demande rien en fait. J'ai tout à fait le droit de ne pas aimer quelqu'un. Et viens pas me dire que c'est du jugement ! Je juge souvent, j'en conviens. Mais D'HABITUDE, je juge ET j'essaie après de parler à la dite personne pour savoir si mon jugement était confirmé. C'est ce que j'ai fait, tu ne peux le nier! J'lui ai parlé, deux fois à part de ça. Les deux fois, je me suis sentie comme de la marde à ses yeux, comme si j'étais ridicule et que je ne valais rien. On se connait à peine, ok, t'as raison, mais parfois, on a pas besoin de bien connaître une personne pour ne pas l'aimer. Il y a des fois ou avec certaines personnes, on ne sent pas à l'aise, ça ne fonctionne pas : eh bien, avec elle, c'est tout à fait le cas. Je m'en excuse, mais c'est la vie, que veux-tu. On ne peut pas aimer tout le monde!

T'aimes probablement pas tous les gens que je côtoie, et c'est bien correct comme cela. Je ne t'en voudrais pas si tu trouves un(e) de mes ami(e)s con(ne)s. Tu fais ce que tu veux. T'as le droit de penser ce que tu veux, de dire ce que tu veux et de faire ce que tu veux : c'est ce qu'on appelle être libre. Non mais fuck , tu te prends pour qui genre? T'es pas la reine du monde, TU ME FRUSTRES! Genre, je t'aime, plus que tout! Mais fuck que t'agies comme si t'étais supérieure à tout le monde. Si j'veux trouver ton amie conne, MA LA TROUVER CONNE OK?! C'est pas toi qui vas me dire comment fucking agir!

T'as pas à me faire sentir mal pour ce que je pense. T'as pas à me faire culpabiliser parce que c'est ton amie et que toi tu la trouves pas conne. Si MOI j'ai des mauvaises vibrations quand je vois cette fille-là, c'est CLAIR qu'il y a une (ou plusieurs) raisons.

J'ten TABARNAK osti.

vendredi 12 août 2011

Pourquoi ?

Pourquoi enlever une perle rare pour l'envoyer au ciel? Le mieux, ce serait de la garder sur Terre, près de nous, non? Si la vie détient toujours un sens après cela, j'en suis consternée. Non! La vie n'a pas de sens, aucune logique! Elle suit des chemins rocailleux, boîteux, à risques! Elle nous fait tomber, parfois simplement trébucher, mais trop souvent, et surtout quand on ne le mérite pas, on tombe en pleine face, sans, encore une fois, y comprendre quelque chose et c'est LÀ que l'on y souffre le plus. La vie nous arrache des gens que l'on aime, les envoie auprès de Dieu pour qu'il les garde auprès de lui. N'est-ce pas un peu égoïste? Légèrement. Mais peut-on le blâmer quand il garde des gens comme Anita Lafrance près de lui? Pas vraiment, car qui ne l'aimerait pas au point de vouloir la garder près de soi!? Vous savez, je n'ai pas beaucoup connu Anita Lafrance : en fait, je ne l'ai vu que quelques fois. Mais en ces quelques fois, j'ai vu une femme avec une force de caractère incroyable : elle avait du courage, de la force et de l'espoir, malgré tout. Grâce à sa merveilleuse fille, j'ai pu la connaître davantage, car celle-ci me parlait d'elle avec tellement d'admiration, tellement d'amour que c'était évident que sa mère fût et reste une femme merveilleuse. Merveilleuse car, même si le cancer la faisait souffrir et la clouait sur le lit d'hôpital, elle trouvait la force de me parler, me disant des choses comme : << Amélie, c'est une bonne fille, oh que si ! Je ne sais pas ce que je ferais sans elle dans ma vie >>. Des phrases comme ça, ça ne s'oublie pas, surtout provenant d'une maman qui, peu importe ce qui se passe, a le courage de le dire et de discuter avec toi, de choses tout à fait banales. J'aurais aimé pouvoir profiter de beaucoups de moments avec cette femme si tendre, si aimante. La vie nous arrache des gens trop vite, parfois, et Anita en est l'exemple parfait. Il faut croire que la vie est cruelle...

Je ne sais plus quoi en dire, même si beaucoup de mots veulent sortir de ma bouche. Je trouve cela injuste, mais à qui aller m'en plaindre? Après tout, c'est la faute de personne. Je trouve ça triste, well, oui c'est triste, de façon très intensive même. Mais que puis-je y faire? Je ferais tout pour la ramener ici, près d'Amélie et de Julien, mais je ne peux pas, c'est au-dessus de mes forces. Je trouve ça ignoble, cruel, déchirant. Mais, c'est ça la vie. Y'a des choses irréversibles et il faut s'y faire. Bref. Ce que mon message tente d'exprimer, c'est qu'Anita m'a marqué à jamais, tout comme sa fille. Je veux dire par là que ce n'est pas quelqu'un que j'oublierai un jour. Je suis persuadée qu'Anita sera là, chaque jour, partout. Elle sera un papillon, une fleur, un nuage, un vent doux qui souffle dans le cou, une feuille d'automne de couleur flamboyante : elle sera quelque chose qui ne souffre plus, qui respire, qui est vivifiée, légère. Et pour toi Amélie, elle sera ta protectrice, comme tu l'as été pour elle. Ta mère est, comme je l'ai dit plus tôt, une perle rare et, telle mère, telle fille, ou telle mère, tel fils, car, même si je ne le connais pas beaucoup, je suis sûre que Julien est tout aussi merveilleux que vous deux. La vie nous amène trop souvent des épreuves dures à surmonter, et celle-là, c'est loin d'être facile à vivre. Il y aura beaucoup de choses éprouvantes, d'émotions incomprenables et de larmes incontrôlées qui surviendront, mais, je serai toujours là, pour t'écouter, pour t'épauler, pour te chanter une chanson, pour te jouer du piano, pour te jouer dans les cheveux, pour t'aider à dormir. Pour tout Amé, simplement tout.

En hommage à Anita Lafrance, car j'aime sa fille plus que tout au monde, car j'aime Anita Lafrance, car je hais ne pas pouvoir y changer quelque chose, car, en définitive, cette femme mérite d'être honorée.

Prenez soin de vous là-haut, et d'Amélie aussi. Faites de votre mieux, pour le reste, je serai là. Souriez, votre fille et votre fils vont s'en sortir : ils sont trop intelligents, trop gentils et trop fantastiques pour que je les laisse partir.

Avec tout mon amour et toute ma lumière, Catherine Renaud.

Hommage à Glee

Glee, c'est beaucoup plus qu'une simple émission hebdomadaire. Glee, c'est le prônage des différences, de l'acceptation de soi, de la confirmation que tous nos rêves peuvent devenir réalité, et ce peu importe qui nous sommes, à quoi nous ressemblons ou combien d'argent nous avons. Glee, ce n'est pas juste un groupe de geeks rassemblés ensemble, qui chantent leur désespoir. Glee, c'est le talent, le dépassement de soi-même. Ce n'est que fiction, mais pourtant, il est si simple de s'identifier à un ou plusieurs personnages qui en font partie. Prenons par exemple, l'histoire de Trenton : un homosexuel dont le coming-out a été forcé et totalement surprenant : son meilleur ami lui a piqué son journal intime, l'a lu, puis, l'a passé à tout le monde. Imaginez-vous combien ce jeune homme a du être humilié et nièsé par les gens de l'école? Rire de ce que les gens ont l'air, c'est quelque chose, mais rire de ce qu'il y a à l'intérieur de la tête, c'est incroyablement pire. Trenton a été obligé de changer d'école, et, un jour, Glee l'a sauvé. Il a su s'identifier à Kurt, qui vivait lui aussi un calvaire intense à son école. Il affirme que Kurt lui a donné la force de continuer. En quelque sorte, Glee l'a sauvé.

Glee démontre aux gens que, que tu sois gros ou mince, grand ou incroyablement petit, homosexuel(le) ou hétéro, Libanais(e) ou Chinois(e), gothique ou rockeur(se), l'on doit s'accepter tel que l'on est, dans notre différence, car c'est ce qui te rend unique! Glee, c'est la différence incarnée, et ce à tous les plans.

Vive la différence, l'unicité des choses. Vive l'acceptation de soi, la confiance et la bonne estime de nous-même, car en croyant en nous, c'est tout ce dont on rêve qui devient accessible! :)
Merci Glee !

mercredi 10 août 2011

C'est dur de savoir que les sentiments que j'ressens envers toi depuis toujours ne sont pas réciproques et ne le seront jamais. C'est dur de ne plus me comprendre. C'est dur de réaliser que tu te contre-calisses de moi, mais de vivre tout de même avec tous les souvenirs que j'ai de nous. C'est dur de me rappeller de CETTE fois-là, de vouloir y être, encore une fois, avec toi, te sentir près de moi, sentir ton parfum, ta respiration, te voir dormir. C'est dur de tout vouloir revivre, même si je ne devrais pas, même si tu me traites avec aucun respect & même si tu me fais passer pour une conne. C'est dur d'avoir vu ma vie dégringoler (et ce, en partie à cause de toi), mais ce qui est encore plus dur, c'est de ne plus la vivre avec toi, comme avant, il y a 3 ans, comme il y a 2 semaines : comme il y a une éternité, semble-t-il. Une éternité si réelle, si innaccesible. Une éternité cruelle, tout simplement.
Et c'est long l'éternité... Encore plus long quand tu sembles si loin de moi.

samedi 6 août 2011

there will always be some people who will be remembered forever. sometimes we miss these people enormously but the reality makes us understand that we are better alone.

... c'est totalement vrai, mais j'aimerais mieux être avec toi, et ce malgré tout, qu'être seule.

vendredi 5 août 2011

"I have dreams of being a producer, being behind a camera, eating seven tacos for every meal, and making movies that affect people the way they affect me. I don't even need to be in them."

- Emma Stone (on the future)
This is our life
Even tho' the sun don't always shine
It's still our life
If you keep yo head up everything will be alright
In living your life.
-Outlawz
Malgré le temps, les intempéris. Malgré les choses que tu m'as faites, malgré les longs moments sans que l'on se parle. Peu importe ce que tu dis, ce que tu fais, ce que tu me fais. Peu importe les conneries, peu importe ton immaturité par moment. C'est difficile à admettre, mais tu seras toujours là. Toujours. J'ai dit ça de bien des autres, je l'admets. Mais après ce qui s'est passé, c'est évident que tu es et resteras celui qui, dans mon coeur, sera mon premier choix. C'est dur de réaliser cela. C'est dur de l'admettre. C'est dur de le clamer. Par contre, le plus dur là-dedans, c'est, évidemment, de l'accepter, mais aussi d'accepter le fait que pour toi, je ne suis qu'une parmi tant d'autres.

Le pire, c'est que même en sachant cela, je recommencerais n'importe quand. Parce qu'après tout, je crois que tu es le seul et l'unique qui a su me faire chavirer.
Je m'en fous de quoi j'ai l'air, je m'en fous! Je recommencerai demain, et ce même si tu me traites sans aucun respect en ce moment.
Si c'est ça t'aimer, c'est dégueulasse et chiant, mais c'est aussi les seuls premiers et vrais papillons que j'ai ressenti et ressens encore aujourd'hui. Je ne veux pas t'aimer, car cet amour, tu ne me le rendrais pas, mais malheureusement, puis-je en décider autrement? Non, car l'amour, c'est quelque chose d'innopiné et de spontané. C'est peut-être vraiment dégueulasse ce que j'ai pu faire, mais t'es le seul avec qui je l'aurais fait. La vie est faite ainsi, et si, ces papillons, c'est envers toi que je les ressens, eh bien...
C'en sera ainsi. Je m'y ferai.

jeudi 4 août 2011

Je regrette, mais je recommencerais demain. Et après-demain. Simplement pour t'avoir auprès de moi, même si je suis consciente que tout cela ne signifie et ne signifiera jamais rien pour toi. Je le sais, c'est évident, mais... Que puis-je y faire? Que puis-je y changer? Absolument rien. La vie est faite ainsi.

J'attendrai.

mercredi 3 août 2011

Et après?
Après, le temps se fera plus froid que jamais. Un froid glacial que même un feu et des couvertes ne pourront combler. Un froid, si intense que même la chaleur corporelle de deux corps ne sauront comment y survivre, car il sera intérieur, et non physique. Puis, les feuilles mourront peu à peu, et tomberont des arbres pour se poser sur le sol, comme si la poussière retombait. Aurais-je l'impression que tout va pour le mieux? Peut-être, comme si le temps avait fait ses choses pour arranger la situation... Mais je sais pertinement que la culpabilité me rongera de l'intérieur & ce à chaque pas que je verrai ces feuilles mortes. Puis, comme à chaque fois que j'y penserai, le froid reviendra, mais s'installera pour de bon peu de temps après que les arbres soient dénudés de leur habit coloré. Ce sera la déprime hivernale et ce que j'aurai fait me trottera encore et toujours en tête, c'est inéluctable. Puis viendra la pluie, telle l'eau qui coule, j'accepterai presque totalement que je suis humaine & que parfois, des choses sont hors de notre contrôle, ce sera donc l'acceptation, qui, comme le printemps, au début est toujours un peu plus gris pour finir totalement fleuri et vivifiant. Sans le réaliser, le soleil, la chaleur et le beau temps reviendra, comme pour me réchauffer le coeur. Telle une révélation, je me dirai : << oh mon dieu, déjà un an! Ça passe vite! >> et je serai finalement capable d'accepter mon erreur. La vie apportera son vent de changement, le cégep va commencer, la vraie vie : celle que je dois mener en fait. Et cette erreur que j'aurais fait l'été de mes 16 ans, je finirai peut-être par en rire. Que voulez-vous? La vie est faite pour se tromper et faire des erreurs.

Donc, oui, je suis effrayée par ce futur, mais je sais de façon sûre que ce que je viens d'écrire se produira. Il est certain que certaines épreuves feront surface et je devrais les affronter mais je n'ai point peur de cela : je sais que la vie est faite de mauvaises surprises, je m'y en attends, par contre, il y aura de très bonnes surprises y compris et c'est ce qui me permet de ne pas m'inquièter ou tout au moins, de moins m'inquièter... Après tout, l'année qui s'en vient sera merveilleuse, car j'en ai décidé ainsi.

Et voîlà. Maintenant, Soleil, continue de briller sur ma vie et de la parsemer de quelques misères. C'est ainsi que je l'aime. :)
Et je suis prête à tout affronter, telle une super-héroïne.

mardi 2 août 2011

Pourquoi ?

Pourquoi suis-je incapable de t'aimer autant que toi tu m'aimes?
Pourquoi, pour la première fois de ma vie, je me fais aimer pour de vrai par quelqu'un de rêvé, et je suis totalement incapable de l'aimer au même point que lui?
Pourquoi dois-je tout fouttre en l'air, alors que lui croit que tout va pour le mieux?
Pourquoi je peux pas t'aimer, d'un amour incensé, d'un amour dont j'ai tant rêvé pouvoir donner... ?

Je m'hais. J'hais le fait que je dois te laisser. J'hais le fait que je dois te faire de la peine, que tu ne t'y attends pas et que tu mérites plus que tout d'avoir une bonne fille à tes côtés.

Je suis désolée...
Mais tu mérites mieux que moi.

jeudi 28 juillet 2011

Je regrettais, je regrette et probablement que je regretterai, donc t'écrire ou non, j'aurais eu le sentiment de regret encré en moi, peu importe de ou il provenait.

Peu importe ce qu'il adviendra, j'aurai fait le bon choix. Désormais, je peux enfin dire que je tourne la page pour de bon.

lundi 25 juillet 2011

Et pourquoi après tout ce temps, tu me manques encore...?

mardi 19 juillet 2011

"When I was 5 years old, my mother always told me that happiness was the key to life. When I went to school, they asked me what I wanted to be when I grew up. I wrote down "happy". They told me I didn’t understand the assignment.
I told them they didn’t understand life."
— John Lennon

dimanche 17 juillet 2011

Difficile de croire que cela fait un ans que je te connais, que je te connais si bien, car l'on ne se parle plus. Je sais, un ans et je suis encore accrochée à toi. Faut dire que je tenais vraiment à notre amitié, et je l'avoue, je l'ai bousillée, sauf qu'il faut admettre que tu n'as pas fait grand chose pour remédier au fait que l'on ne se parle plus. Bref, je n'y peux rien, il est trop tard depuis trop longtemps déjà. Je voulais simplement que tu saches, même si je sais que tu ne liras jamais ceci, que je t'en veux pas, et que je m'ennuie de te voir, je m'ennuie de te parler, je m'ennuie que tu me pokes les joues, je m'ennuie que tu textes du monde nowhere avec mon cellulaire et que tu ajoutes dans mes ami(e)s facebook un certain attardé. Je m'ennuie, ok? J'aurais jamais dû te laisser sortir de ma vie.

Y'aura jamais assez de mots pour décrire à quel point tu me manques. Y'a un vide en dedans de moi et ce même si je recois tout l'amour du monde pour combler ce vide.

...

dimanche 10 juillet 2011

J'écris cela au nom de l'amitié (et oui, encore!) mais pas de n'importe laquelle. Celle que je partage avec mes quatre autres fillettes, soit Amélie Gatien, Frédérique-Audrey Tremblay Harvey, Clhéo Galipeau-Dupont et Malika Rozon-Richer. Si tu es un ou une de mes ami(e)s, ne te sens pas vexé(e), c'est simplement que j'en ai très long à dire sur ces quatres femmes de ma vie, et je tiens vraiment à les remercier de façon particulière. Au pire, je n'ai pas à me justifier, c'est mon blog après tout? Sur ce, je commence.

Je dis que je commence, mais sincèrement, par quoi commencer? Il y a tant à dire sur vous que je pourrais écrire pendant des heures des messages destinés à prôner les bienfaits dont chacune de vous m'aient apportés.

Commencons par le commencement.
Dire que tout a commencé par ce que l'on croyait être une banale pièce de théâtre pour notre cours d'histoire. Si j'avais su tout ce que ce projet allait apporter à ma vie, je ne l'aurais simplement pas cru. Je me compte chanceuse d'avoir pu faire cela avec vous, car on s'est TELLEMENT rapproché vite en faisant cela. Dans le temps de le dire, on commencait à s'appeller, à manger ensemble à l'école, à se voir à l'extérieur des cours, à rire (de plus en plus souvent, pour ne pas dire toujours haha), à avoir des insides! Ça a passé vite, tel un éclair. Si vite que je ne me suis pas apperçue à quel point j'étais rendue heureuse grâce à vous, à quel point je me sentais revivre. Je sais que pour être heureuse, ça se fait pas instantannément et que j'ai dû m'aider grandement, sauf que je suis persuadée que vous avez rendue ça possible, car je savais pertinemment que vous aviez confance en moi. J'ai fait la conne en secondaire 3, c'est ça qui arrive lorsqu'on manque d'attention, de confiance en soi et, avouons-le, de maturité. Par contre, cette année là a été formidable, car il s'est passé deux choses inoubliables qui ont changées ma vie : notre amitié et ma prise de conscience. À la suite de ces moments où je n'étais vraiment plus moi-même, la vie a semblé changé complètement. Comme le dit si bien la chanson Moi-Léger, de Karkwa, ce fût l'étape après la misère. La dite étape fut le point tournant de notre amitié : c'est à CE moment précis où notre amitié fut totalement soudée. Vous n'aimiez pas le fait que je sois... prise dans cela, pour épargner les détails et je n'aimais pas que vous n'aimiez pas ça (belle tournure de phrase, je sais!). Je voulais pas vous décevoir en faisant ce que je faisais. Vous avez donc contribué à mon reprenage en mains (hahaha oui oui reprenage!). Et une chance que je me suis reprise en mains, j'avais l'impression de sombrer, de ne plus me comprendre... En réalité, je ne voulais pas me comprendre. Je ne voulais pas accepter que j'agissais ainsi pour ignorer tous mes problèmes au lieu de leur faire face. Et depuis que je les ai affrontés, j'en ai premièrement beaucoup moins et deuxièmement, il m'en faut BEAUCOUP pour être triste, car je dramatise plus du tout, comparativement à avant, moi qui étais négative à souhait. Tout cela grâce à tout le soutien que vous avez su me porter.

Après ce moment b-s de ma vie, tout est devenu plus heureux et agréable à vivre. Je passais beaucoup plus de temps avec vous, on en profitait, on crampait genre 100000000x par jour (pendant les cours de français, entre autre!). Sans m'en rendre compte, vous deveniez une partie intégrante de ma vie, et au fur et à mesure, je réalisai à quel point je ne pouvais plus me passer de vous. Vous m'avez fait grandir ; mes qualités, vous les avez améliorées, mes défauts, vous les avez acceptés. Avec vous, je suis vraie, authentique. Je n'ai pas peur de ce que vous pensez de moi, car l'on s'aime telle que l'on est, ce qui est quelque chose de très précieux.

Bref. Je tenais simplement à, encore une fois, vous remercier d'exister. Merci d'être si merveilleuses, si compréhensives, si drôles, si naturelles, si vraies! Merci de m'aimer telle que je suis, avec mon osti de caractère et merci de toujours être là pour moi. Sachez qu'à jamais je vous serai reconnaissante pour ce que vous avez fait pour moi. Notre secondaire se finit l'an prochain, on prendra notre envol chacune de notre côté en se rémémoirant de façon nostalgique nos souvenirs passés ensemble, mais nos moments communs ne s'arrêteront pas à cet instant. Je sais éperduement que l'on se verra moins, mais je ne veux pas vous perdre. Je ne peux pas! Je tiens TROP à vous, trop à nous. Je crois en notre amitié. J'y crois intensément et je sais qu'en faisant des efforts, on continuera à vieillir ensemble. Ça fait peur, grandir, mais c'est par contre, inévitable. Je souhaite de tout coeur ne jamais vous perdre et, en attendant, je profite de chaque instant passé avec vous et je remercie le ciel de vous avoir!

En définitive, merci d'être celles que vous êtes. Merci, simplement merci! Sachez que je vous aime à l'infini, et je n'oublierai jamais tout ce que vous avez fait pour moi.

Je donne peut-être l'impression d'en parler au passé, mais ce n'est point le cas. Je vous remercie pour tout ce que vous avez fait pour moi, mais je sais que dans dix ans, je vais encore pouvoir faire cela, car vous ferez partie de ma vie. On est liées à jamais les fillettes, et c'est tant mieux.
Vers l'infini et plus loin encore ;)

Love you forever !

jeudi 30 juin 2011

J'pense pas que je pourrais être plus heureuse = ) !

L'été est débutée, l'école est fini : y'a plus de stresse, plus d'examens, plus de projets à remettre, plus de réveil-matin qui sonne à 6h06 du matin, plus de marche jusqu'à l'arrêt de bus sous la pluie ou sous la neige qui tombe, plus d'uniforme et de veste qui tient même pas au chaud, plus de directrices qui avertissent parce que t'as une camisole rose, plus de cours de maths, plus de cours d'anglais, PLUS DE COURS DE SCIENCES !

Non non, maintenant y'a que du Soleil (bon ok, pas que du Soleil, mais c'est censé être comme ça), du linge d'été, des lunettes de soleil, la plage, le bronzage, les ami(e)s, Séb, les partys, le repos, les slush, la liberté, le choix de ne rien faire sans se sentir mal parce qu'on délaisse les projets. Bref, la simple et pure liberté, la liberté sans regrets.


Que de joie. =) Bon je chiale contre l'école, mais faut pas croire que je suis une de ces personnes négatives qui chialent constamment contre l'école, parce que moi j'aime ça, mais tsé... J'aime aussi relaxer et surtout ne plus faire de foutue stoechiométrie ;)

En fait, la seule affaire qui me manque, c'est elles, ce sont mes amies, vous les filles, que j'aimerais voir chaque jour si je le voulais.

Mais bon, je suis hereuse, il fait beau, les oiseaux chantent & je t'aime. :)

lundi 6 juin 2011




L'école finit dans 4 jours, puis viendra la semaine d'exams. Joie intense vous dites? Très. Mais c'est pas de ça dont j'veux vous parler. Ce dont je veux vous parler, c'est de ceux qui font de mes journées d'école un moment plus que tolérable, agréable, je dirais. Oui, y'a ceux & celles à l'extérieur de l'école et j'vous remercie pour TOUT ce que vous faites pour moi (genre Chlo, Lau et Alexe) mais, vous, à l'école, vous êtes comme ma motivation. Sérieux, serais-je capable d'y aller si vous n'y étiez pas? Se poser la question, c'est y répondre.

Amélie Gatien, Frédérique-Audrey Tremblay-Harvey, Malika Rozon-Richer, Clhéo Galipeau-Dupont, Olivier Jolicoeur, Noémye Lalonde-Gosselin, Céline Rose, Samantha Gravelle & Caroline Béland.

Merci d'être là, chaque jour.
Je vous aime & sincèrement, je ne sais pas ce que je ferai sans vous. =)


dimanche 5 juin 2011

Tannée d'étudier, tannée des projets, tannée de prendre des notes, tannée de changer mes mines, tannée d'utiliser mon liquid paper, tannée d'aller en anglais, tannée de calculer des fuckings affaires que j'm'en calisse, tannée de faire des ostis de projets.

Encore une fois, j'fatiguée, j'tannée J'TANNÉE!
Ouais, à soir j'feel pour parler mal. (Y)

Ya. =)

lundi 30 mai 2011

Et après tout ce temps, j'ose enfin avouer que tu me manques encore...

Et le plus dur là-dedans, c'est de savoir éperduement que tu me manques, que tu me manqueras pour toujours Gabriel. Je sais que tu ne liras jamais ceci, mais, j'écris comme si j't'écrivais. Tu me manques, et de le savoir, de le réaliser, de le comprendre et de vouloir faire quelque chose que je ne ferai pas, car même en essayant, rien ne reviendra comme avant, me fait mal comme jamais. C'est comme un grand vide ; un perpétuel trou dans lequel je tombe ; ce trou, c'est la tombe de tout ce que l'on avait bâti, c'est ... La fin d'un monde, du nôtre, dans lequel j'étais si bien. Nous relire, nous revoir, soit en rêve ou en concret, ne fait que tourner le fer dans la plaie que porte mon coeur depuis que je t'ai laissé aller, ou plutôt depuis que tu m'as laissé te laisser partir, sans jamais faire quelque chose pour me retenir, sans jamais faire quelque chose pour me prouver que tu tenais à moi : que tu m'aimais.
J'aimerais savoir comment tu vas, j'aimerais que tu te moques de moi, encore et encore, j'aimerais me battre avec toi pour t'empêcher de texter quelqu'un, j'aimerais que tu m'étendes plein de colle avec le bâton de colle de Woody, j'aimerais que tu me pokes les joues, j'aimerais que tu sois là. J'aimerais que tu lises ça, j'aimerais TELLEMENT savoir ce que tu penses en ce moment. Car de savoir que je te manque me pousserait à reprendre contact avec toi, mais... Je ne sais pas. Je crois que tu me trouves immature et probablement qu'à chaque fois que tu penses à moi, t'as l'image d'une pauvre conne en tête. C'est ce que je crois, par contre je ne le saurai jamais. Je souhaiterais ne rien t'avoir écrit, je souhaiterais que rien ne se soit produit, je souhaiterais encore me dépêcher le soir, pour te parler, simplement te parler.

C'est dur de réaliser que plus jamais j'aurais de conversations avec toi jusqu'à trois heures du matin, c'est dur de penser encore à toi, après autant de temps, c'est dur de savoir que je t'ai tassé de ma vie, sans t'avoir donné la moindre explication, car j'avais mes raisons. C'est dur de pas savoir comment tu vas, c'est dur de plus te voir, de ne plus passer plein de journées avec toi, couchés à ne rien faire, à simplement, apprécier la compagnie de l'autre. C'est dur de ne pas savoir comment tu me vois maintenant.

Je t'aime et je t'envoie toute la lumière que je porte. J'ose espèrer que, lorsque quelque chose te fait penser à moi, je te manque, mais je sais bien qu'au fond, tu dois être passé à autre chose.
Merci de m'avoir autant marqué, merci de m'avoir aidé aussi longtemps et saches que n'importe quand, je serai prête à te reparler.
Parce que c'est très dur ne plus t'avoir à mes côtés.


dimanche 29 mai 2011

Confusion

- Je ne te vois pas?
- Je suis là, tout près de toi, mon ange.
- Alors comment se fait-il que je ne te vois pas?
- Ouvres les yeux!
- Ils le sont, tu sais...
- Ouvres les yeux, tu ne peux me manquer, je suis si près de toi, je sens ton souffle rauque dans mon cou, je ressens les mouvements de ta respiration, j'entend ton coeur qui bat... Qui bat si vite!
- Mon coeur bat toujours vite quand tu es là.
- Tu affirmes donc que je suis là, mais tu viens de prétendre que je ne m'y trouvais point... N'est-ce pas un peu contradictoire?
- En effet, mais... Je tente d'ouvrir les yeux pour te voir. Bien qu'ils soient grand ouvert, je ne vois rien. Rien sauf la noirceur éperdue, la noirceur qui semble infinie, éternelle. Comme un grand vide dans lequel je me trouve et dans lequel je ne cesse de plonger. Personne pour me rattraper, m'en empêcher, je tombe, je tombe...!
- Tu me donnes l'impression d'avoir des vertiges...
- Oh mais j'en ai ! J'en ai toujours quand tu es près de moi.
- Cela prouve que tu me crois, je suis bien là, ma douce!
- J'ose y croire, j'espère en fait que c'est vrai... J'aimerais tant que tu sois là.
- Mais je le suis, je te le promet.
- Oh non, ne promets pas ! Ne promets pas, car chaque promesse que tu as pu me dire, tu ne l'as pas tenue, chaque promesse que tu as dit tenir à jamais, tu les as rompue. Ne promets pas, car, en promettant, tu me prouves que tu me mens. Ne promets pas, car je finirai par te croire, et, promis, cela finira par me faire grand mal!
- Je suis là, je te prie de me croire.
- Comment pourrais-je? Chaque fois que j'essaie, je souffre d'autant plus.
- Je sais, mais là, c'est réel tu sais, je suis là.
- Mais je ne te vois pas!!! J'essaie de te voir, à la limite de t'entrevoir, mais je ne te vois pas, je ne vois rien, aucun mouvement! Je te ressens, mais je ne te vois pas! Comment prouver que ce n'est pas qu'une petite voix dans ma tête, ou bien un rêve éveillé!?
- Parce que tu ne rêves pas, il fait noir, mais tu ne dormais pas, tu ne rêves pas. Tu as les yeux grands ouvert, mais tu es incapable de me voir.
- Parce que tu n'es plus là, inéluctablement !
- Mais non! Parce que tu ne veux pas me voir, tout simplement!
- ...
- Moi, je veux te voir, et lorsque je le veux, je te vois. D'une élégance pointilleuse, tous tes gestes sont, à mes yeux, un ballet exquis, empli de finesse et de doigté. Tes simples mouvements se transforment en danse, tes sons plus que normaux, à mes oreilles, deviennent symphonie. Je te vois, je te connais par coeur : je te devine.
- Je veux te voir.
- Tu ne pourras pas, tu ne pourras plus jamais. Ton coeur tente de s'ouvrir et veut me voir, mais ta raison t'en empêche. Elle qui ne veut plus souffrir, ton coeur qui veut tout me donner par amour. Moi je te vois, et bien que je ne te verrai plus, je te vois, là, maintenant. Ma main qu'effleure ton visage aussi doux qu'un pétale de rose, mon coeur qui ne bat que pour toi, mon âme qui est tienne à jamais. Tout est là, tout est là pour toi, à ta portée de la main. Cependant, ta tête t'en empêche. Je finirai par l'accepter, bien que la vie sans te voir deviendra un perpétuel vide qui, à jamais, tenterais-je de combler sans réussir. Mes journées, bien qu'ensoileillées, deviendront grises à jamais, mon ciel, autrefois d'un bleu si tendre, d'un bleu comme tes yeux, dans lesquels j'aimais tant plonger mon regard, sera pour toujours parsemé de nuages. Mes sourires, naguère si purs, sincères et gouteux, seront amers, jaunes et forcés. Mes gestes, jadis spontannés et expressifs de tout l'amour que je te porte seront calculés et sans signification. Mes nuits, anciennement passées à rêver à toi, à nos passions et à tout l'amour que nous nous portions, deviendront hantées par ta beauté cruellement innacessible. Mes pensées, oh mes pensées, qui t'étaient toutes devouées et entièrement tiennes, le resteront, certes! Néanmoins, dieu sait à quel point elles me tortueront de ne plus t'avoir à moi, de ne plus t'embrasser et de t'entendre rire. Tous ses souvenirs me tueront à petit feu. Mes oreilles, s'ennuyant de l'exquise prononciation de tes dialectes, saigneront, voudront devenir sourdes, préférant ne rien entendre que de petites paroles dépourvues de sens. Mes yeux, suppliciés de ne plus voir tes lèvres si douces, tes yeux si invitants, ton visage si pâle et ton corps grâcieux, tenteront de ne plus voir tant qu'à voir de singulières frimousses, ou de trop nombreux masques. Mon odorat, acablé de ne plus sentir ta sirupeuse effluve, remémoirant ta fougue et ton ardeur, entreprendra de ne plus sentir, car de simples flagrances ne valent rien comparé à la tienne. Mes lèvres, si souvent posées sur tes lèvres ou ton front, espèrereront ne plus jamais toucher quelque chose, sinon que tes voluptueuses lèvres. Et mon coeur... Mon coeur, sera à toi à jamais, puisque je sais que mon esprit t'affectionnera d'une adoration interminable. Avant l'aurore, je partirai. Mais laisses moi te regarder, encore quelques instants. Le potron-minet ne se pointera dans un moment, et c'est à ce moment que je m'en irai, tel un seul homme, un seul pion nullement important.

[moment de silence]

- Ah, voîlà le crépuscule. Si tôt est-il venu, pour ne pas dire trop tôt. Saches que tu as bouleversé ma vie, Nadia, que tu as fait de moi quelqu'un, en me vouant tout cet amour, trop brièvement interrompu. Mon coeur est vôtre, demoiselle, je suis condammé à vous aimer pour l'éternité, telle est ma punition pour avoir pu consumer un tel bonheur qui ne m'était point destiné, il faut croire. Je vous dédie tout ce qu'il peut y avoir de lumineux en moi. Toi, qui as su transformé ma vision des choses, tel un artiste modifie un sujet, imperissablement mon âme te sera redevable. Ah, le Soleil se présente à nous, tel un spectacle, comme un rappel ruinant déjà le somptueux panorama que ton minois me présentait. Je suppose que mon départ est imminent. La dernière locution que mon coeur te portera est celle-ci : bien que j'aurais préféré la vivre avec toi, je te souhaite la prospérité. Sois ce que tu as été pour moi, Nadia, et restes le à jamais, car bien que ton coeur ne m'est plus voué, le mien restera changé à jamais, et ce par ton amour.
[Christian se lève, embrasse tendrement le front de Nadia]
- Ce front va me manquer, ma douce, comme il me manquera... Comme me manqueront tes yeux, tes lèvres, et toi, la si belle femme que j'aime tant... Adieu, mon amour.

[Les yeux verts du jeune homme pénétra pour une dernière fois les yeux d'un bleu enchanteur. Enfin elle put le voir, et un regret soudain s'empara d'elle... La jeune femme entrevu une larme qui se perlait tranquillement au coin des yeux de l'homme qu'elle avait tant chéri, il y a quelques temps de cela. L'homme se dirigea vers la porte, se retourna vivement, et, sur ses lèvres, on pu lire :]

- Mon coeur, à toi, pour toujours.

[Il quitta ainsi la pièce, laissant entrer l'air frais du matin, et l'odeur de la rosée. La fraîcheur soudaine fit frémir Nadia, étendue dans son lit. La porte se referma, et elle entendit les pas s'éloigner. Réalisant soudain son inadvertance, la jeune femme éclate en sanglots.]

Fin du IV acte.

samedi 28 mai 2011


"Love is like a brick. You can build a house, or you can sink a dead body."

"Trust is like a mirror, you can fix it if it's broken, but you can still see the crack in that mother fucker's reflection."


Lady Gaga.
Un artiste est un scarabée qui trouve, dans les excréments mêmes de la société, les aliments nécessaires pour produire les œuvres qui fascinent et bouleversent ses semblables. L’artiste, tel un scarabée, se nourrit de la merde du monde pour lequel il œuvre, et de cette nourriture abjecte il parvient, parfois, à faire jaillir la beauté.
Pour toi ma belle, je t'oblige à la garder et a garder mon beau message, car c'est notre phrase et il ne faut jamais l'oublier. Et toi, tu ne dois jamais oublier que je vais toujours etre là pour toi, peu importe ce qui arrivera.
-WM

samedi 14 mai 2011

Ode à Nouchka.

Voilà quelques temps que Nouchka, ma merveilleuse chienne, occupe un place beaucoup plus grande dans ma vie que je ne le croyais. J'veux dire que, oui je l'ai toujours aimé et jamais j'en ai douté ou jamais j'ai cru ne pas l'aimer, mais, en peu de temps, Nouchka a pris toute sa signification dans mon coeur. Je sais, je sais, je semble peut-être un peu étrange d'écrire sur ça, mais pour moi, c'est important, car Nouchka m'a permis d'entrevoir mon avenir. Elle est ma vie, mon présent, et formera sans aucun doute une très grande partie de mon futur. Sincèrement, s'il y a bien UN seul être sur cette Terre qui m'rend LE plus fière possible, c'est bien elle : ses progrès sont immenses et me permettent de croire en elle davantage. Tous ces mots paraissent anodins et trop... Simples et pas rapport que certains viendront sûrement à se demander pourquoi ce chien me rend SI heureuse. Faut pas chercher trop loin, vous savez : le bonheur est fait de choses simplistes : je n'ai pas besoin de vêtements en quantité industrielle, ni de superbes autos luxueuses, etc etc : j'ai besoin d'elle dans ma vie. Pas juste d'elle, évidemment, par contre, elle rend mes jours gris plus beaux, mes larmes plus légertes, ma douleur moins intense, mes frustrations plus courtes.

Je me fous de ce que vous pensez. Nouchka est peureuse et insécure, elle grogne, montre les dents et tente même de mordre parfois. C'est comme ça, et j'espère de tout coeur que ça ne restera pas. Elle et moi travaillons très fort ensemble, et elle a même commencé à jouer avec quelques chiens et à être plus calme. Elle n'est pas parfaite, et alors? Vous non plus! Je l'aime comme elle est, et elle m'aime pour ce que je suis, sans juger. C'est là toute sa beauté, et, en toute honnêteté, je ne sais pas comment quelqu'un ne pourrait pas craquer devant l'amour de ma vie qu'est Nouchka Lapin Renaud. (psst, n'essayez pas de comprendre son surnom). J'aime Nouchka et l'aimerai toute ma vie. Merci de faire de mes jours un réel plaisir. =)

vendredi 6 mai 2011

Et je me dis que, finalement, si j'étais totalement une autre personne, je t'aurais plu.
trouvez la logique là-dedans?
Justement, elle ne s'y trouve PAS!
Get a life, sérieux.




c'fait longtemps, mais je devais en parler ! Tsé genre de réalisations soudaines? OUIN! :)

samedi 23 avril 2011

Lettre ouverte au Berger Blanc.

Je ne sais pas quoi commencer, car j'ai énormément de choses à vous partager.

Je crois que je vais commencer par dire que je vous trouve menteurs et hypocrites. L'émission Enquête a démontré les mauvais traitements que vous administrez aux animaux errants, perdus, peu importe. Vous dites vouloir nous protéger des animaux agressifs, voyons dont! Vous nous prenez pour des imbéciles ou quoi? Les animaux que vous '' recueillez '' ne sont pas tous agressifs, et malgré cela, les animaux agressifs ne méritent pas DU TOUT de se faire maltraiter comme vous le faites!! C'est insensé, complètement insensé!

Sur votre site, vous dites << Pourquoi tout ce que l'infiltrateur a appris sur les recherches intensives des animaux, la stérilisation des cages, les bons soins apportés à nos pensionnaires 24 heures par jour, ainsi que travail acharné des employés avec qui il a vécu tout ce temps ne font-ils pas l'objet du reportage? >> et c'est très ... anormal de poser cette question, car cela est une évidence FLAGRANTE que vous n'apportez aucun de ces bon soins aux animaux. Par contre, je vous accorde que vos employés travaillent archanément, mais travaillent acharnément à tuer les animaux (plus d'une centaine par jour!) de manière cruelle, plutôt que d'essayer de les aider, et de leur trouver un foyer.

Il est clair que, sur votre site, vous essayez de vous racheter, de faire comme si aucun de vos pensionnaires aient pu souffrir, que ce n'était qu'un employé parmi tant d'autres, que l'homme ayant démarré le '' Berger Blanc '' est un homme droit et honnête, mais pourtant, le reportage nous démontre un homme menteur et hypocrite. Lorsque Pierre Couture a vu les images de son employé tuant les animaux cruellement, des cadavres jonchant le plancher, des cris d'animaux agonisant, il a paru totalement surpris, étonné de voir ce que l'on administrait dans son entreprise! Franchement! Premièrement, en tant que directeur, il se devait de vérifier que les animaux aient de bons traitements, il se devait de s'assurer que son personnel travaille proprement. Face à sa réaction aux images, on peut en déduire deux choses ; soit que m. Couture ne vérifiait aucunement le travail de son soi-disant vétérinaire, ce qui prouve l'indifférence qu'il avait envers la santé des chiens et chats, soit qu'il n'a jamais cru bon vérifier, ce qui démontre encore une fois que le bien-être des pensionnaires ne lui importent peu. Et ça, en tant que directeur d'une entreprise ayant pour but de recueillir les animaux errants, ce n'est pas une bien bonne chose, c'est même assez contradictoire, nest-ce-pas?

Encore une fois, sur votre site, vous affirmez vouloir protéger les gens des animaux agressifs. Il y a assurément d'autres manières d'assurer la protection des gens face aux animaux agressifs. Et de toute façon, existe-t-il vraiment des chats agressifs? Non. Donc vos affirmations ne tiennent incroyablement pas debout. Malgré cela, je comprend que parfois, les chiens doivent se faire euthanasier, soit parce que leurs maîtres ne peuvent plus rien faire pour changer leur comportement agressif, ou pour beaucoup d'autres raisons, mais est-ce une raison pour les massacrer? Clairement pas. Vous essayez de vous en sortir, mais avec le peu d'arguments (arguments faibles, en plus!) vous ne faites que passer pour de pauvres types cruels et ignorants. Vous dites que vous avez tenté de faire le moins d'euthanasis possibles : cela fait quasiment du sens en sachant désormais que vous en tuez plus de 100 par jour! Et vous pensez que les chatons mourraient par manque d'anticorps, que vous n'y êtes pour rien, mais sincèrement, les chatons auraient TRÈS bien pu survivre à conditions d'être dans un endroit propre, enclin à leur survie et à leur bien-être, ce qui n'était, évidemment, pas le cas de votre '' refuge ''.

Vous tentez clairement de passer pour les victimes, alors que les victimes sont les pauvres animaux ayant eut le malheur d'atterir dans ce terrible endroit nommé '' Berger Blanc''! Vous devriez avoir hônte, vous devriez assumer vos actes, accepter le fait que vous avez eu tort, que vous agissez de manière cruelle, désobligeante et TRISTE! Je n'ai regardé que quelques minutes du reportage, et c'était excessivement assez pour me me faire pleurer : voir les animaux jonchant le sol, paralysés, agonisants! Et puis après, dire '' ils ne souffrent pas, ils sont paralysés! '' ; c'est déplorable! Quand on ne sait pas quoi dire, on ne dit rien! C'est simple comme bonjour, non? Je suis loin d'être la seule à dire que vous agissements sont dégueulasses, et je ne vais probablement pas être la seule à vous écrire. Je ne crois absolument rien de ce qui est écrit sur votre site. Enquête a montré au Québec quel genre d'établissement votre refuge est & j'espère grandement que les animaux ne se retrouveront plus jamais chez vous.

Je viens à me demander ceci : comment des êtres humains ont pu faire tant de mal à des bètes innocentes? Comment!? Je ne comprend simplement pas comment l'on peut être si cruel. Vous dites que les animaux équilibrés font un séjour sain chez vous et qu'il se trouvera un foyer, alors que les animaux meurent en une seule journée, ou plutôt meurent au bout de leurs souffrances. Dans le reportage, une femme était allé porter un chat chez vous, et la journée même, ou le lendemain, bref, son propriètaire était allé le rechercher, avec un papier prouvant qu'il était bien chez vous, et vous avez dit n'avoir jamais vu un tel chat chez vous ; la vérité, en fait, c'est qu'il mourrait probablement peu à peu, en agonisant ou en rampant sur les planchers sales!

J'ai remarqué que vous n'avez pas compris quelque chose de fort simple dans la vie : ce qu'on met dans des bacs d'ordures, ce sont (JUSTEMENT!) des ordures, et ce qu'on enfoui avec les déchets, ce ne sont pas des chients et chats morts ou paralysés, mais bien, quelle coïncidence, des ordures aussi! À voir vos actes, vous n'avez pas compris ceci, car vos animaux, malgré le fait que vous affirmiez les mettre dans des sacs imperméabilisés dans un congélateur, ils se trouvaient plutôt dans des bacs à poubelles, empilés un par dessus l'autre, certains encore vivants.

Vous dites QU'EXCEPTIONNELLEMENT, des animaux ayant des défaillances ou un mauvais comportement seront euthanasiés, mais cela m'est étrange : on croit bien que l'exception est devenue coutume, au Berger Blanc, car vous tuez tous les animaux sur le champ. Pourquoi mentir ainsi? Votre tentative d'échapper à de telles accusations est vaine. Vous reportez la faute sur votre employé dépressif ; oui, je peux comprendre que quelqu'un vit une mauvaise passe, mais est-ce réellement une raison pour ne pas surveiller le travail de ceux qui travaillent pour vous? Non! La faute, vous devriez la prendre sur VOTRE dos. De toute façon, ce n'est certainement pas l'employé qui aurait, par un étrange hasard, de les empiler dans des bacs et de les enfouir avec des déchets! Vous dites que l'équipe vétérinaire lui a apprit à faire des injections, mais le dit employé ne savait pas quel dosage administré, il l'ignorait ! Il a même affirmé '' cela dépend aussi de sa volonté à survivre! '' C'est du n'importe quoi, tout cela! Lorsqu'on administre LA bonne dose à l'animal pour qu'il s'endorme à tout jamais et ce, sans souffrances, peu importe à quel point l'animal veut vivre, il s'endormira à tout jamais, la volonté n'a donc RIEN à voir avec cela.

Encore une fois, l'employé n'est pas LE seul fautif. Je persiste et j'insiste à dire que vous auriez dû vous assurer de son état mental ; après tout, vous étiez conscients de ce qu'il vivait, il fallait donc agir en conséquences. Malgré la lecture de votre site, je crois et croirai toujours que votre établissement devrait fermer et que les animaux ne devraient pas se retrouver chez vous. J'ai de la peine pour ceux qui ont soufferts, si nombreux soient-ils et j'espère que vous finirez par réaliser le tort que vous avez causé.

-Catherine Renaud. >>

Car pour moi, les animaux sont aussi importants que nous, car pour moi, personne sur la terre ne méritent de se faire traiter ainsi, car, pour moi, pour eux, je me bats pour mes convictions.

http://www.radio-canada.ca/emissions/enquete/2010-2011/Reportage.asp?idDoc=148572&autoPlay=##commenter

mardi 5 avril 2011

Soyons optimistes.

Comment ça pourrait aller plus mal que ça?

Y'a des femmes & des enfants violés et battus à peu près partout dans le monde. Des personnes qui n'ont aucun droit. Des gens volés, battus, par leur propre patri. Des rivières pollués, du trafic de drogue, des handicappés ou des personnes malades vivant dans les rues, des animaux maltraités, de la corruption, des inégalités raciales & sociales, des mensonges, de l'escroquerie, des places où la paix est censée regner, alors que ce n'est le cas qu'en surface, des enfants nés malades, cancéreux. POURQUOI? Et la seule réponse est parce que.


Des gens souffrent, des enfants sont kidnappés, violés, revendus pour du trafic. Un peu partout, des guerres, des révolutions éclatent à cause du manque de justice, d'égalité. Des animaux sont encagés, torturés et montrés en spectacle pour de l'argent, de l'argent SALE!

Je me suis dit, pourquoi donc empirer la situation? Non, mais c'est vrai! On chiale, on est négatif, alors qu'on devrait se dire qu'il y a toujours pire que soi. Il faut être optimiste, voir le bon côté et arrêter de s'appitoyer sur notre sort. En effet, certains se diront '' non mais est-elle tarée? son dernier message parle de pessimiste!'', et auront raison. J'ai eu mon moment de pessimiste en ce soir, voilà mon présent ; l'optimiste & le positivisme! Et, il faut concentrer sur le positive, donc? ;)

Voici mes raisons de sourire :) :




et beaucoup d'autres.
MERCI DE PROCURER UN CHANGEMENT!


lundi 21 mars 2011

Destiny is for losers. It's just a stupid excuse to wait for things to happen instead of making them happen.
-Blair Waldorf
<3

dimanche 20 mars 2011

Et je me dis que le temps guérit de tout, même de toi

J'ai envie d'écrire, de tout dire.

J'ai envie d'écrire que j'me trouve idiote & complètement naïve. J'étais plus jeune à ce moment-là, mais je n'en reviens pas à quel point j'ai cru intensément en notre histoire ''d'amour'' clairement sans aucune tendresse, sans aucune possibilité d'amour réciproque. Je nous vois encore, nous... draguer, nous désirer. Je me vois complètement abasourdie de voir que quelqu'un comme moi puisse intéresser quelqu'un comme toi... Puis finalement réaliser que t'es un pauvre con, et que tu me niaisais. Oui, je revois les larmes couler, sans cesse... Tout cela me revient à la mémoire. Et dire que je t'ai laissé une autre chance! Il faut dire que je n'étais pas heureuse, à ce moment, que je croyais avoir besoin de quelqu'un qui m'aime, alors qu'en réalité, j'avais besoin de m'aimer & de réaliser que des gens qui m'aiment pour vrai, j'en avais déjà. J'ai longtemps pensé que toujours je ressentirai quelque chose pour toi. Toujours... C'est long toujours. Certes, je n'ai pu m'assurer de cette pensée, mais pratiquement un an après, je découvre que non. Je saisis que tu es quelqu'un de royalement ordinaire, pour ne pas dire vide d'esprit, complètement paresseux, qui laisse croire aux gens qu'il est ambitieux. En bref, tu me fais pitié. Et je suis heureuse de dire que tu ne me manques plus et ce depuis longtemps.

Puis, j'ai envie de dire que tu me manques, plus que quiconque. Je nous manque. Tous les souvenirs défilent en moi, me vident. Je nous vois, rieurs & insouciants, comme si ce que l'on vivait allait durer éternellement. Et on y a cru... En tout cas, moi j'y ai cru... Puis, un jour à l'autre, tu as complètement changé, tu m'as brisée, et ce à jamais. Tu as détruit ce que nous avions bâti. Et moi qui croyais que notre amitié était forte, et que tu étais un gars génial... Je me demande bien où ma lucidité se trouvait, à ces instants, car à la façon dont tu poses ces actes, je comprend que tu n'étais que un parmi tant d'autres.

Finalement, j'ai envie de te dire que tu me manques, et que chaque pensée portée envers toi, envers ce que nous avons vécu, me fait mal comme un couteau dans le coeur.... Mais ça s'atténue, au fur et à mesure. Au début, je me suis refermée sur moi-même, et j'ai plongé dans les livres, qui m'ont sauvé, dois-je avouer. Mais durant cette période de temps, je n'étais pas totalement moi-même. Je me sentais vide, et mes habitudes ont changées. Nous avons cessé de nous parler, et, à cause de toi, oui, j'ai perdu quelqu'un à qui je tenais vraiment, et même si je ne veux l'avouer, je sais très bien que jamais cela reviendra comme avant. C'est inéluctable pour les yeux, mais pour le coeur, c'est trop dur à prendre. Par contre, grâce à mes expériences antérieures, je sais que, oui pour le moment, tu n'es pas UN parmi tant d'autres, tu es toi, complètement différent et jamais je ne pourrai t'oublier, mais, je sais avec certitude que, un jour, tu me laisseras complètement indifférente,,, Pour maintenant, je sais que tu es encore à ta place dans mon coeur, mais que tu disparais de plus en plus. Peut-être ne veux-tu pas cela, mais, tant pis, car trop longtemps je me suis battu pour une cause perdue. Désormais, c'est fini.

C'est dur de penser à nous, car j'y ai cru plus que n'importe quoi d'autre, sincèrement. Avec raison, et avec tort. En effet, c'est un peu contradictoire. Mais, j'étais heureuse, en y croyant. Voici donc la conclusion à laquelle j'en suis venue ; si croire en quelque chose me rend heureuse, il serait plus que temps que je commence à croire en moi encore plus fort que maintenant.

samedi 12 février 2011

:)

On veut tellement être aimée : aimée par un homme respectueux, attentif... On veut tellement qu'on cherche, qu'on se démène pour que ça marche, que l'on pleure des larmes et des larmes, à n'en plus finir, on change, parfois, on fait des choses regrettables, et dans tout cet amour tellement recherché, vide, incolore et... Finalement au bout du compte, inexistante, on finit par se perdre... S'y perdre, dans ce vide, infini, tel un trou noir, y tomber, plonger, et même si notre raison s'éfforce de nous dire de ne pas y tomber : tomber dans ce piège. On tente tellement de trouver '' le bon '' que, trop souvent, l'on oublie l'essentiel. L'essentiel est que l'amour est toujours là, démontré par nos ami(e)s, notre famille. Pourquoi chercher plus loin alors? Simplement parce que l'humain le recherche toujours. C'est ainsi.

Eh bien... Oui, encore une fois, pour la St-Valentin 2011, j'ai pas quelqu'un. Ok, c'est vrai, j'ai pas de chum. Et puis quoi? Tant pis! J'ai des ami(e)s en or & une famille merveilleuse, tout simplement, et c'est eux qui me font sourire. Si j'ai pas trouvé la bonne personne eh bien, j'passerais pas mon temps à me morfondre.

Un jour, ça viendra.
Pour l'instant, je me laisse aimée par des personnes qui valent la peine, qui me vouent un amour pur, ce qui diffère de bien d'autres personnes qui sont passées dans ma vie en coup de vent, dans le simple but de, je crois bien, me faire de la peine.

Sur ce, laissez-vous aimer. :) Joyeuse St-Valentin 2011!