J'réalise encore pas que... Que tu n'es plus là, que tu es parti, pour ne plus jamais revenir. Ça me pèse tellement sur le coeur, ça me fait une énorme boule dans la gorge de savoir que... Tu n'es plus de ce monde, que plus jamais tu feras sourire mon grand-père, que plus jamais ma grande tante n'aura l'étincelle qu'elle avait dans les yeux quand tu posais les tiens sur elle, ses yeux qui d'ailleurs sont rendus vides sans ta présence, et ça me fend le coeur qu'après tant d'années passées ensemble vous et elle ; tu n'es simplement plus là, car ton corps a rendu âme.
Je me demande parfois si tu as vu toute l'admiration et l'amour que les gens autour de toi t'ont porté ou ont pu te porter un jour, dans ta vie. Je me demande aussi, si le discours de mon grand-père, eh bien, si tu l'as entendu de la place ou tu te trouves, car moi, je l'ai entendu et ces mots ont restés encrés au plus profond de moi, surtout les derniers : je ne perd pas qu'un frère, mais aussi un grand ami ; adieu Renaud ! Et sur ces dernières syllabes, un trémolo de tristesse et des larmes aux yeux sont apparus. J'ai tellement de fierté en repensant à toi, tu étais fort, heureux et tellement en amour avec ta femme. Y'a des choses qui ne trompent pas. Mais ce qui m'inquiète le plus Renaud, c'est de ne pas savoir ce que tu pensais de moi : après tout, je ne suis pas allé te voir souvent, je crois que je n'avais pas réalisé la gravité de ta situation. Je t'aime, et tu me manqueras toujours. Ça aussi, je me demande si tu le sais, ou du moins, si tu l'a su de ton vivant. Tu m'as tellement apporté, si simple soit la chose. Un sourire au coin des lèvres, ou un rire aux éclats par tes mots, ou tes mains qui me serraient à la manière Auclair. Je sourie en pensant à toi, même si les larmes me viennent tout aussi facilement.
Sans aucune raison particulière, tu as su me faire sourire et me rendre fière du sang qui coule dans mes veines ; les Auclair ont le don de me faire sentir fière, et ce d'une toute autre manière des Renaud, après tout, ce n'est pas une compétition.
Je me demande parfois si tu as vu toute l'admiration et l'amour que les gens autour de toi t'ont porté ou ont pu te porter un jour, dans ta vie. Je me demande aussi, si le discours de mon grand-père, eh bien, si tu l'as entendu de la place ou tu te trouves, car moi, je l'ai entendu et ces mots ont restés encrés au plus profond de moi, surtout les derniers : je ne perd pas qu'un frère, mais aussi un grand ami ; adieu Renaud ! Et sur ces dernières syllabes, un trémolo de tristesse et des larmes aux yeux sont apparus. J'ai tellement de fierté en repensant à toi, tu étais fort, heureux et tellement en amour avec ta femme. Y'a des choses qui ne trompent pas. Mais ce qui m'inquiète le plus Renaud, c'est de ne pas savoir ce que tu pensais de moi : après tout, je ne suis pas allé te voir souvent, je crois que je n'avais pas réalisé la gravité de ta situation. Je t'aime, et tu me manqueras toujours. Ça aussi, je me demande si tu le sais, ou du moins, si tu l'a su de ton vivant. Tu m'as tellement apporté, si simple soit la chose. Un sourire au coin des lèvres, ou un rire aux éclats par tes mots, ou tes mains qui me serraient à la manière Auclair. Je sourie en pensant à toi, même si les larmes me viennent tout aussi facilement.
Sans aucune raison particulière, tu as su me faire sourire et me rendre fière du sang qui coule dans mes veines ; les Auclair ont le don de me faire sentir fière, et ce d'une toute autre manière des Renaud, après tout, ce n'est pas une compétition.
Je t'aime & tu me manques comme jamais... J'espère que de tout là-haut, tu veilles sur ta femme, même si ça ne fait aucun doute que tu le fais ; puisque de ton vivant, tu l'as fait ; la mort n'arrache pas tout ; car au delà de celle-ci, vous vous aimez encore... & les souvenirs, les moments heureux, les épreuves restent et seront à jamais encrés dans notre vie et ce qui reste de celle de ta femme. La mémoire est un beau cadeau, après tout. Ce qui me manque le plus, je me le demande bien. La partie de moi qui est partie avec toi, la partie de toi qui reste en moi comme un flot d'admiration et de tristesse, ou la miniscule partie de nous, ces minuscules moments passés ensemble qui ne se produiront plus jamais... Cette partie que tu as emmené avec toi, ces souvenirs qui me manqueront toujours... 
Tu me manques Renaud !
Tu me manques Renaud !
